Équateur

Les Trésors et Traditions

Les marchés en Équateur offrent les spectacles les plus colorés d'Amérique du Sud. Ils sont situés dans les villes et villages tout au long de l'« Avenue des Volcans », généralement animés par de petits agriculteurs et artisans indigènes.

La tradition équestre des Andes équatoriennes remonte à plusieurs siècles, lorsque les habitants des villages, des villes et des haciendas se déplaçaient à cheval et en charrettes, sillonnant de long en large les petits chemins de la région andine. Aujourd’hui, les chevauchées sont une activité touristique qui ont lieu les jours de fête et donnent une occasion unique d’admirer de beaux paysages de volcans enneigés, de forêts et d’étendues désertiques andines.

Les Trésors Gastronomiques

La cuisine équatorienne est un mélange de cuisine autochtone et de cuisine européenne, apportés par les hispaniques. Cependant on retrouve beaucoup d’influence culinaire dans les plats équatoriens venant d’autres continents. Ces derniers contiennent beaucoup de condiment et on peut retrouver des ingrédients de base sous toutes leurs forme tel que le maïs, les patates, le riz, les bananes, les fruits exotiques d'Amazonie, les fruits de mers et les poissons sur la côte.

Les Trésors Artistiques

Il serait bien trop long ici de référencer tout ce que peut proposer l'Equateur en matière d’art et d’artisanat!! Nous ne citons donc que quelques spécialités parfois connues du grand public international. En Equateur, chaque région, pour ne pas dire chaque ville à sa propre spécificité artisanale qu'elle a acquise et transmise depuis des siècles.

Contrairement à une idée reçue et à ce qu’indique son nom; le Panama est fabriqué en Equateur et non au Panama. Il provient exclusivement de ce pays connu pour cette matière.

En découvrant, dès 1881, les qualités extraordinaires de la matière utilisée pour confectionner ces chapeaux, les ouvriers du grand canal de Panama l’ont popularisé en Europe et aux Etats-Unis d’Amérique surtout grâce au président américain de l’époque qui, en visitant le canal, a popularisé ce chapeau en le baptisant « Panama hat ». Cela qui ne fût pas et n’est toujours pas du goût des équatoriens!